CARACTÈRE

chaotique - arrogant  - perspicace - agressif - borné - égocentrique - vulgaire - égoïste - maniaque - perfectionniste - troublé - impulsif - athlétique - frustré - violent - hostile - fier - solitaire - condescendant - déraisonné - cynique - déloyal - rusé - irrationnel - audacieux - franc - observateur - imprévisible - contestataire - cultivé - impertinent.

ANECDOTES

more of the story-
001. this is the happy house à ce jour tu les détestes et tu les as probablement toujours détestés. statues de parents qui ont toujours agi comme si en t'accueillant, le plus beau des miracles s'était produit. c'est en apparence que vous avez toujours vécu paisiblement, favorablement, dans les murmures et l'exaltation que votre Puissant réussirait à s'emparer de tout pouvoir. ils l'admiraient et toi, tu les admirais. penseur aveugle à qui on avait toujours promis qu'il avait été tant désiré en tant que fils aîné, fils unique, favori d'une famille qui n'avait pas le choix d'avoir un préféré. un cadeau qui ne s'est révélé n'être que poison dans une famille qui n'en était qu'encore plus empoisonnée. lâche que t'es, t'as simplement préféré leur tourner le dos plutôt que des les envoyer crever mais l'envie ne t'en manquera jamais. fraîchement libéré de leur toxicité qui a brouillé la majeure partie de ton existence.

1987:

002. it's safe and calm if you sing along tu l'as souvent caressée sans aucun arrière-pensée. celle qui a orné ta peau à peine as-tu eu l'âge de comprendre les complexes connotations qu'elle impliquait. ce que tu ne savais pas, c'est que tu n'avais jamais vraiment compris ce à quoi elle t'obligeait. pas même lorsque, une ceinture dans la bouche, ton père te rendait désolé pour la foi que tu n'exprimais pas assez. bon à rien de Cassius ne pouvant marcher dans l'Armée tant que tu n'avais pas l'air de partager assez leur pensée. t'étais trop bon de coeur. ou trop insouciant. un mauvais descendant qu'on ne désirait pas à moins qu'il n'ait, des heures durant, crié à quel point il en voulait. et pendant longtemps t'en as voulu au monde entier. t'as été façonné à l'image de deux géniteurs qui voulaient que ton rôle dans Son armée soit plus louable que le leur.

2004:

003.Running in the dark to find East of Eden le chaos s'entremêle dans un quotidien que tu ne sais tolérer. le lycée n'est qu'une marre d'ennui de laquelle tu avais espéré être tiré par ce que tes parents rêvaient depuis une éternelle année. des mois qui se sont étirés et au bout desquels tu n'aurais jamais cru assister à la scène qui se déroule sous ton impuissante perplexité. ce sont les cris, les explosions, les molles silhouettes qui s'écrasent au sol au son de tes pas. jamais un cadavre ne porte ton nom, le vôtre, le tien et celui de tes parents réunis pour fuir à travers ce qui semble être le plus grand cauchemar jamais matérialisé. de tyrans à couards qu'ils deviennent sans se mouiller dans un conflit auquel ils avaient tant aspiré. pas toi, pas vraiment, pas réellement. tu ne suis que cette lâcheté que par des mouvements inconscients dictés par une conscience indomptée. de cette guerre, tu n'as jamais souhaité et c'est d'un soulagement que tu ne pourras jamais exprimer que, tu avoues, n'avoir blessé personne dans cette sanguinaire quête de pouvoir.

2005:

004.now I fucked up and I'm missing you
et tes yeux se sont juchés sur lui. l'une des plus grandes douceurs que tu n'aies jamais rencontrées. comme si vous étiez déjà liés alors qu'un seul de tes pas n'avait été posé dans ce bar que, d'insalubre, tu aurais qualifié. pas ta première fois à pousser de grandes portes de bois pour venir t'intoxiquer mais l'unique où tu poses ton regard sur une silhouette si sacrée que même, des millions d'années après, tu ne pourrais oublier. ce sourire, cette voix, cette chaleureusité. tu ne connais que le grand froid d'un foyer qui ne veut que te voir briller et pourtant en cette soirée, tu te lies d'amitié. puis vous continuez, vous vous voyez, vous vous amusez. Aza. il est comme personne que n'as rencontré. les doutes te rongent, les questions s'imposent mais tu renies tout d'un revers de la main comme si l'univers entier t'avait déjà montré le chemin que tu devais emprunter. plus aucune peur, plus aucun questionnement. t'avances ouvertement dans cette relation d'ambiguïté qui, au final, n'était que les premiers pas pour vous lier. t'as jamais été aussi sûr dans ton existence quant à ce que tu aimais.

005. cross out the ones who heard my cries and watched me weep
sale chien qu'on rappelle comme bon leur semble. la haine est palpable dans leurs mots lorsqu'ils t'interdisent de le revoir et le dégoût l'est dans les tiens lorsque tu courbes l'échine. tu ris, tu pleures, tu montres des dents pleines de sang dans un élan de folie et ils comprennent à quel point mettre un terme à cette obscène relation te coûte mentalement. physiquement. c'est tout ton être qui se rebique et brûle d'une souffrance nouvelle à laquelle tu n'avais jamais goûtée. pêcheur. t'es pourtant tant habitué à tout ce avec quoi l'être humain peut être heurté. mais ça, jamais. et plus jamais. le papier te semble froid lorsque tes doigts l'abandonnent à ses yeux. la certitude qu'il la lira, cette lettre d'adieu, te donne une toute nouvelle notion d'enragement. t'es qu'une sale merde Cas. tu te sens impossible à atteindre, totalement lésé et complètement déconnecté et pourtant, si tu l'étais vraiment tu ne lui aurais jamais demandé de ne plus jamais te contacter. mais voilà. tu l'as fait et c'est aussi de Magix que tu te détaches complètement en pensant qu'il sera plus aisé pour toi de voyager plutôt que de rester dans une capitale où tes propres parents t'ont forcé à quitter la seule et unique relation qui n'ait jamais comptée.

006. I can tell you miss me juin marque ton retour tant inattendu. si t'avais pu rester à jamais dans de contrées éloignées, tu l'aurais probablement fait. et pourtant, tu te retrouves à Magix après tant d'années, comme si tu ne l'avais quittée. t'as grandi sans que jamais tes inquiétudes et tes regrets ne t'aient quitté alors t'enfermes-tu dans un travail dans lequel tu ne t'aurais jamais vu. tu t'isoles, tu te caches.

more of others -
+; marbre autrefois immaculé, t'avais eu un jour l'albe épiderme à jamais intouché. gamin au teint blafard, t'as tôt fait de découvrir ce que ça faisait de saigner. le carmin tâchant ton ivoire résultant des corrections que tes parents t'infligeaient ou des petites disputes qui arrivaient dans la cour de récré. t'étais ce petit con qui cherchait les bagarres avant d'entrer dans l'âge ingrat où tu te heurtais à de plus gros bonnets. t'as connu les menaces sous les lames de couteaux, les coups sempiternels, les quelques cicatrices que tu cachais sans trop t'embarrasser. puis il y a eu cet inexplicable don et ces moments d’incompréhensions. on t’a heurté, tu t’es coupé et il n'y avait plus rien que tu sentais. tu marches désormais avec toutes les marques que la vie t’a donné, sans joie, sans fierté.

+; vilains dessins qui parcourent ton corps, tel un enfant qui salirait les blancs murs de sa maman tu as cru bon d'inscrire l’aiguille dans ta peau, à jamais. t’es zébré par les erreurs passées si bien que lorsqu’on te regarde, t’es enseveli des quelques tatouages que t’as fièrement pensé être une réussite au moment où tu t’es encré. sans jamais d’aide professionnelle, t’as juste tenté de manier un art que t’as juste bafouillé. des gribouillis sans importance aucune qui sont désormais ancrés, tu t’en fous, trop ailleurs pour réellement réaliser.  

+; t'as ce timbre véritablement abîmé. totalement irrité par ces nuits où tu n'as fait que hurler. sur eux, sur toi, sur tous les gens qui ont pu un jour te blesser. le silence n'étant qu'un trou sans fond que tu ne pouvais couvrir que par ces sons qui ont dégommé tes cordes vocales. l'on pense souvent que tu forces sur ta voix lors des rares fois où tu l'utilises pour aborder des personnes avec lesquelles tu n'es pas familières et pourtant, il n'y a rien de plus authentique chez toi que l'atroce voile qui l'a longuement consumée.

+; seule compagnie sur tes frêles épaules. amour partagé, sous les draps vous vous enroulez et de cette union naît cette douce paix. la paix intérieur d'être proche d'un être cher. c'est Asmodée, le plus beau des serpents.

+; t'aurais pu être un enfant doué si tu ne t'étais pas gâché. nature auto-destructive qui t'a plombé, t'es de ceux qui ont les dons innés. t'aurais pu être le talentueux pianiste de ta famille de déséquilibrés. facilité déconcertante, t'es ce petit génie mort-né, aptitudes étouffées et enterrées, t'auras jamais usé de ce potentiel qui aurait pu t'emmener aussi loin que l'on ne l'aurait souhaité. au lieu de ça tu baignes dans la crasse. celle des morts avec lesquels t'es trop occupé. celle des opaciés qui t'embrument le cerveau. la certitude que tout ça n'a pas déserté est infime mais le vacillant espoir luit encore; si tu prenais le temps de t'y appliquer, tu pourrais percer.

i heard a rumour that... + t'as l'odeur de millions de cigarettes consumées et de roses fraîchement ramassées + t'es aussi toxique que les pilules avec lesquelles tu te défonces, c'est pour ça que t'es jamais entouré + trace d'une aisance réfutée, tu te réfugies pour lire les ouvrages. toutes les plumes que le monde a portées, tu les dévores, âme insatiable de la littérature, tu ne saurais t'arrêter pour rien au monde comme ta douce enfance a pu te l'enseigner. + on te reproche souvent cette habitude, les sonorités qui t'attirent les foudres de plusieurs, à chaque minute, toi qui ne sais pas faire sans te craquer les os des mains. +  les vapeurs qui t'entourent avant que ça ne soit sur ta langue que ça se retrouve. tu touches à tout, Cas, plus que le commun des mortels, plus que ce que ton corps ne pourrait supporter. pour t'amuser, pour t'oublier.

QUESTION
Quel impact la guerre a-t-elle eue sur votre famille, vos proches mais surtout, sur vous ? Où étiez-vous, pourquoi ?
un moment pour lequel on t'avait, si longtemps, préparé et pendant lequel tu es fermement resté sur le côté. par lâcheté tu pourrais probablement murmurer, celle de tes parents que tu n'as jamais grandement estimés bien qu'ils se défendraient en louant les millions d'opportunités qu'ils t'ont livrées en te laissant de côté durant ce moment décisif de l'histoire. des conneries, des excuses, toujours est-il que tu n'as pas fini exilé comme la plupart de tes compagnons fidèles. t'as juste fini le lycée puis t'as volé vers l'université, comme si de rien n'était. comme si toute cette adolescence valtorienne n'avait été que rêvée. si ce n'était pour Sa marque qui, jour et nuit, t'observait alors que tu vivais sans emprisonnement aucun. de la honte et des regrets.

VOUS DERRIÈRE L'ÉCRAN
PSEUDO/PRÉNOM : j'en ai po vraiment (de pseudo hein), mon p'tit prénom c'est Mailyna (ou mail, ou n'importe ce qui vous fait plaisir).
ÂGE : vingt-six ans.
PRONOM(s) : she / her.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? top rpg, je sais pas lequel ??
MOT DE LA FIN : j'aime la raclette.

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<span class="sweet maj">Jamie Campbell Bower</span> | [i]@"Cassius K. Byelobog"[/i]