CARACTERE  volontaire * ouvert d’esprit * impatient * fidèle * curieux * courageux * combatif * anxieux *

ANECDOTES

1. Né sur Domino, Marius était ce que l’on nomme un enfant heureux. Des parents, une petite vie… tout s’est effondré lors de la guerre, quand il perdit son univers, ses repères. Le gamin se trouvait protégé par le cadavre de sa mère, il se faufila pour sortir de sous cette protection et découvrit l’horreur de la guerre. Le sang, la mort, la puanteur de cette dernière. Désormais orphelin, il ne comprenait même pas ce qui lui arrivait.

C’est à ce moment-là qu’ Aethelwulf le trouvait et le secouru du reste des menaces. Marius ne se souvenait pas réellement de ce qui s’était passé, une seule chose restait en mémoire : cet homme qui lui avait sauvé la vie et promit qu’il reviendrait le chercher. Ce qu’il fit une fois la guerre terminée.

2. Petit à Petit, Marius commence à s’habituer à sa nouvelle vie. Son nouveau père fait de son mieux, néanmoins avec deux enfants orphelins à charge, ce n’est pas évident. Le point positif dans cette histoire, c’est la proximité entre les deux bambins. Depuis leur rencontre à l’orphelinat, Oleya et Marius sont très proches, si bien qu’on pourrait les prendre pour des jumeaux tant ils sont connectés. Le garçon ne supportant pas que l’on s’en prenne à Oleya, surtout pour des motifs aussi stupides, la prit sous son aile, devenant un grand frère, ce qu’il est toujours d’ailleurs. Plus le temps passait, plus ils devenaient proches, complices ; pouvant se comprendre sans même parler (un peu logique me direz-vous étant donné qu’Oleya était atteinte de mutisme à ce moment-là). Oleya était la petite sœur qu’il avait toujours désirée.

Dès que la petite faisait des cauchemars, elle se faufilait dans le lit de Marius pour finir la nuit au calme et en sécurité, ce qui faisait toujours à moitié sourire le garçon, partagé entre le fait de trouver cela mignon et la tristesse de la raison l’amenant là. Alors il l’enlaçait dans ses bras et lui murmurait des mots pour l’apaiser. Marius se battait souvent avec les autres enfants qui embêtaient Oleya, pas nécessairement devant elle, pourtant, le jeune homme ne pouvait s’empêcher de leur mettre une correction, quitte à prendre des coups. Cela ne lui faisait pas peur.

Ce lien persista chez leur père (qui n’avait d’ailleurs pas eut d’autres choix que d’adopter aussi Oleya, Marius refusait de partir sans elle et ne voulait rien savoir. Il fallait qu’elle vienne. Aujourd’hui encore, le bagarreur au grand coeur est certain que c’était la meilleure chose à faire), si bien que Marius développât une carapace pour montrer uniquement ses côtés forts aux autres, sauf Oleya qui le connaissait trop bien. Il ne pouvait pas mentir à sa sœur de coeur, sa confidente.

Pourtant, il reste une chose dont il ne parle pas à Oleya : ses propres cauchemars. C’est un élément dont Marius ne parle jamais. Non pas parce qu’il veut conserver cela pour lui, mais tout simplement, parce que le jeune homme n’y parvient pas. Alors pour compenser il s’est mis à s’entraîner physiquement. Plusieurs heures par jour. C’était sa manière de compenser son trauma.

C’est cette profonde connexion qui aidait leur papa à les gérer, bien qu’ Aethelwulf avait déjà toutes les qualités requises pour s’occuper d’eux.

3. Un beau jour, aux 13 années de Marius, vint un homme sortit de nulle part qui demandait son chemin à Marius. Bien élevé et surtout, n’ayant aucune raison de l’envoyer promener, l’adolescent se contenta de lui répondre. Jusque-là, tout va bien. C’est alors qu’ Aethelwulf demanda à Marius à qui il parlait. Là encore, l’adolescent répondit tranquillement, ne comprenant pas le souci. Le qui pro quo fut vite élucidé, ce qui donna des frissons à Marius. Quelle était donc cette malédiction ? Celui lui rappelait ses rêves, ou plutôt, ses cauchemars où il voyait des morts lui parler, surtout ses parents. Était-ce lié ? Son père et lui discutèrent beaucoup, comprenant qu’il s’agissait de son pouvoir (mais Marius se garda bien de parler de ses mauvais rêves). Bien évidemment, Oleya aussi fut mise au courant, mais le jeune homme ne pouvait pas le lui dire directement. Il l’avait enlacé et expliqué le tout d’une voix cassée, démontrant son malaise. Marius mit en place des petits stratagèmes pour définir si les personnes lui parlant étaient réelles ou non. La plus efficace : ignorer les gens. Si bien que cela lui joua quelques tours.

4. Ce fut d’ailleurs ce genre de situation qui l’amena à rencontrer Eontine. Une fée qui était avec lui à Alféa. Vexée qu’il ne lui réponde pas, lui la prenant pour une morte et lui ayant dit rapidement des mots méchants, elle le baffa. Stupéfait, il lui expliqua alors, ce qui ne plus bien évidemment pas à la jeune femme. (Et qui lui valu les moqueries de sa sœur… parce que lorsque l’on n’est pas doué comme Marius, on fait bien les choses). Assez maladroit, Eontine su malgré tout rester avec lui et aujourd'hui encore, les tourtereaux sont ensemble, bien que certains sujets n'aient pas encore été traités. Est-ce la femme de sa vie ?

5.  Première année à Alféa. Déjà que Marius n’aimait pas sa magie, se rendre chez les sorciers était tout simplement impossible pour lui. Le naïf qu’il était espérait voir sa magie changer. Or, ce ne fut pas le cas. Dépité de sa situation, le damoiseau comprit que sa magie était bel et bien de lui et qu’il devrait faire avec. Sa magie était presque devenue une angoisse, si bien qu’il ne parvenait pas à la contrôler. Alors il préféra quitter la scène de la magie. Toutes ces personnes s’égaillant sur leurs pouvoirs, c’était malaisant pour lui. Marius ne se sentait pas du tout à sa place.

6. Entrée à Fontaine Rouge, Marius espérait que la magie serait totalement évincée du cursus, hélas ce n’était qu’un doux rêve. Pourtant, les peu de cours abordant cette matière convenaient à Marius. Il se sentait soulagé de ne plus avoir autant de pression par rapport à sa magie. Sa famille le comprenait et aucun d’entre eux n’essayait de le forcer à la développer. C’était encore une chose en commun que Marius avait avec sa sœur : ils n’étaient pas à l’aise avec leur magie.

Ayant toujours fait pas mal de sport, Fontaine Rouge était bien plus simple pour Marius, il était dans son élément de l’actif par la forme physique. La stratégie et autres domaines l’intéressaient aussi.

7. Marius parvint à passer outre son traumatisme d’enfant. Tout ce qu’il s’était passé n’était pas de sa faute et surtout : ce n’était pas un enfant qui pouvait sauver tout le monde. La blessure restait, néanmoins le sentiment de culpabilité s’était allégé.
Ayant énormément pris exemple sur Aethelwulf, Marius voulait en partie suivre ses traces, notamment par rapport aux runes tatouées. Pour la première fois, le damoiseau trouvait la magie utile et presque belle. Certes, il ne comptait pas réaliser cela toute sa vie, néanmoins la connaissance de cette pratique l’émerveillait. Son père était un exemple qu’il respectait énormément, si bien que ses enseignements et conseils étaient toujours pris en considération. Oui, en considération, Marius se refusait de juste suivre des ordres ou des indications sans comprendre pourquoi. Le mouton blanc, pas pour lui. Le jeune homme ne se considérait pas comme un rebelle, mais comme un être à part entière, pensant et maître de ses actes.

8. Soirée avec les camarades de Fontaine Rouge, Marius s’était fait une place et se sentait chez lui désormais. Le groupe d’ami était allé faire la fête et avait bu, peut être un peu trop d’ailleurs. Mais la joie était présente, les blagues et bêtises suivaient parfaitement, jusqu’à ce qu’un besoin primaire se fasse sentir et que Marius termine par uriner sur la portière d’un véhicule de police. Ce qui aurait pu passer crème si les jeunes gens s’étaient enfuis. Néanmoins, la présence du conducteur du véhicule ne permettait pas la fuite, ou en tout cas, pas avec ce taux d’alcool. Interpelé, Marius conversait presque normalement avec l’agent, ce qui se stoppa lors du vomissement effectué par Marius sous le fou rire de ses camarades. Mais pas de l’agent des forces de l’ordre. Étrange non ?

Son père dû être heureux de le récupérer au commissariat, pendant que son fils dégrisait dans une cellule. Étrangement, Marius ne s'en souvient pas.

9. Marius a toujours aimé dessiné, même si les personnes le sachant son rare. Son père lui apprit l’art des tatouages avec la magie. Une fierté pour Marius, mais qu’il préfère conserver pour une poignée de personnes. Sa magie restant parfois assez instable, Marius pense que juste tatouer serait fort sympathique. Surtout que l’occasion lui est donné par un artiste alors d’un évènement de salon de tatouage.
Non pas une révélation, mais une confirmation, Tatouer, c’est ce qu’il veut faire. Alors il s’en donne les moyens et promet à sa sœur qu’il lui tatouera toujours tout ce qu’elle désire gratuitement. Elle est un tel soutien pour lui que c’est une manière de la remercier.

10. Diplôme en poche, Marius n’écoute pas ses enseignants. Eux veulent qu’il poursuive en tant que militaire, estimant qu’il a une belle et longue carrière devant lui. Marius qui s’en moque royalement, préférant largement devenir tatoueur, ce qui horripile ses professeurs. Pour eux, ce  « métier », qui n’en est pas un d’ailleurs, n’est qu’une perte de temps et avec les temps terribles qui sont là, s’engager pour le pays serait un choix plus judicieux. Sauf que Marius n’est pas un mouton.

Marius n'est pas du genre à fuir et veut aider la compagnie de la lumière, mais pas celle des vendus qui obéissent juste comme des toutous. Non, s'il doit rejoindre la compagnie, ça sera la vraie, celle qui se bat pour faire ce qui doit être fait, comme son père le faisait lorsque Marius était petit.

QUESTION
Quel impact la guerre a-t-elle eue sur votre famille, vos proches mais surtout, sur vous ? Où étiez-vous, pourquoi ?
pour en savoir plus, merci de lire l'annexe concernée.
La guerre... cette horreur qui est à l'origine de la mort de ses racines. Marius a perdu sa famille et sa nation à cause de cela. Marius était à Domino, où exactement, il ne s'en souvient pas, néanmoins... il se souvient du reste. Les cris, le sang... le corps de ses parents tandis qu'ils le protégeaient.

La guerre a détruit le monde de Marius, lui faisant connaitre l'horreur de tout perdre, créant en lui, même s'il se refuse de l'avouer, des traumatismes dont il se serait bien passé.

Mais cet évènement lui a aussi donné une nouvelle famille, des proches pour lesquels il a constamment peur.

VOUS DERRIÈRE L'ÉCRAN
PSEUDO/PRÉNOM : Voxiferus / Vox ça suffira x)

ÂGE : Mouha ha ha ha, physiquement ou mentalement ? Dans quelles circonstances ? :p

PRONOM(s) : M'en fou, comme vous voulez ^^

COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? PRD ! Et plus particulièrement, la signature de ravenkroft. Moi je dis ça, je balance hein.  

MOT DE LA FIN : fin.  

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<span class="sweet maj">Timothée Chalamet</span> | [i]@"Marius Scrope"[/i]